Qui a péché ?
Dieu m’a révélé pourquoi ton cancer de la peau n’est pas encore guéri, a dit une femme à mon ami. « Vraiment ? » a-t-il pensé. Après avoir subi deux opérations douloureuses qui n’ont pas réussi à éliminer le cancer de son visage, mon ami en cherchait désespérément la raison. « Dieu m’a dit que c’est une de ces trois choses-là », a-t-elle continué. « Une des trois », s’est dit mon ami. « Même Dieu n’est pas certain ? » « Soit c’est une malédiction transmise par tes parents… » « C’est la faute de mes parents ? » « Soit tu gardes un péché secret… » « Lequel ? » (mon ami peut être effronté.) « Soit tu n’as pas assez de foi pour être guéri. »
La femme stérile
Cher Sheridan,
Je sais que ta femme et toi n’avez pas pu avoir d’enfants. Mon mari et moi non plus, et nous avons presque tout essayé. Le plus difficile, c’est que la souffrance et le désir semblent ne jamais disparaître. Je me réfère au Proverbes 30 qui dit : La femme stérile est insatiable. Je sais que Merryn et toi êtes passés à autre chose. Ce que je veux savoir, c’est si la souffrance et le désir disparaissent un jour, ou s’ils ne font que s’atténuer avec le temps. Cordialement, Becky.
Au café
Crystal regarde fixement par la fenêtre du café et se demande si la vie ne s’améliorera jamais. Déjà cinq hommes et deux enfants, et elle n’a que vingt-neuf ans. Elle se sent seule et se demande si l’homme numéro six rendra les choses meilleures.
Il vous connaît
Il vous connaît. Il connaît chaque microcosme et nanoseconde de votre existence – chaque cellule, atome et molécule ; chaque intérêt, faiblesse et réalisation ; chaque espoir, rêve et peine.
Pourquoi ?
Notre vie a commencé à basculer lorsque notre fille s’est enlevé la vie, m’a confié une femme durant la pause d’une conférence à laquelle nous assistions toutes les deux. « Puis notre deuxième fille a sombré dans la dépression et a commencé à s’"automutiler" ». Après plusieurs mois, nous avons découvert pourquoi : Alors que mon mari et moi étions missionnaires en Indonésie, deux de nos trois enfants ont été victimes d’abus sexuels dans une école dirigée par la mission. Nous avions donné notre vie pour servir Dieu… Pourquoi ne nous a-t-il pas protégés ? » J’ai entendu d’autres histoires semblables à cette conférence – des gens qui se sont sentis trahis par Dieu.
Acceptés, bien qu’imparfaits
À la première lecture, cela ressemble à une histoire d’amour. En vérité, c’est le récit d’un des actes les plus insensibles de David.
Espoir différé
Chaque couple qui tente d’avoir un enfant le sait : tous les 28 jours, c’est le moment où l’on espère voir un signe de succès. Pour beaucoup de couples, cette attente est accompagnée de déception qui dure quelques mois, jusqu’à ce que la conception ait lieu. Mais pour d’autres, ce cycle mensuel de regain et de perte d’espoir peut durer des années. Proverbes 13.12 décrit bien cette expérience : « Un espoir différé rend le coeur malade, mais un désir accompli est un arbre de vie. »
Lire l’Écriture, manquer Dieu
Il y a quelques années, j’ai eu une révélation qui m’a amené à remettre ma foi en question. Après dix ans de ministère, j’ai réalisé que je ne connaissais pas bien Dieu . Oui, je savais qu’il y avait un Dieu bon et saint. Je savais que Jésus était mort pour mes péchés. Mais est-ce que je connaissais bien le caractère de Dieu ? Sa personnalité ? Pas profondément.
L’Éternel impose le rythme
L’année 2013 venait à peine de commencer que je ressentais déjà un besoin de vacances. Des rénovations de maison, un lancement de livre, un voyage en Éthiopie et deux voyages de conférences en Australie m’ont laissé peu de temps libre durant la dernière année. Un soir, au milieu de toute cette agitation, j’ai pris un livre et je suis tombé sur cette charmante paraphrase du Psaume 23 par le poète japonais Toki Miyashina.
Élégante, non pas séduisante
Une amie m’a fait part de ceci récemment : « Le nombre élevé de prédications sur l’habillement des femmes a été dévastateur. On jette subtilement le blâme de la convoitise des hommes sur les femmes. Les hommes devraient assumer la responsabilité de leur convoitise, et les femmes devraient être libres de porter ce qu’elles veulent. » Cela m’a porté à réfléchir.